NEDROMA L'ATTRAYANTE VILLE ALMOHADE : UNE CITÉ D'ART ET D'HISTOIRE

NEDROMA L'ATTRAYANTE VILLE ALMOHADE :

UNE CITE D'ART ET D'HISTOIRE

 

Il est prévu à cette occasion de se pencher sur l'histoire de Nédroma et de sa région, depuis les origines jusqu'à l'époque contemporaine et sur sa vie culturelle et artistique.

C'est dire l'importance accordée par notre pays à l'authenticité de son histoire et à la préservation et  la restauration des témoignages et des vestiges de son passé.

Mais dans l'attente de cette important événement ne serait-il pas utile de donner d'ores et déjà un bref aperçu sur l'histoire de cette cité? NEDROMA présente du point de vue historique beaucoup d'affinités avec la prestigieuse ville de TLEMCEN. En effet chaque fois que cette capitale régionale était convoitée par telle ou telle puissance, par telle ou telle dynastie régnante, NEDROMA au site défensif au pied de la chaine de montagnes du Fillaoucen, non loin des ports de Honaïne, Ghazaouet, et Sidi Youchaa. elle et située donc sur le chemin de ces ouvertures vers la mer. Elle aussi a été menacée, cernée, assiégée, conquise, occupée... de nombreux vestiges remontant à des périodes historiques témoignent des diverses dynasties qui s'y sont installées.

L'abondance d'eau et l'existence d'une végétation luxuriante et surtout la découverte de vestiges tels que les lames de silex ou fragments de poterie dans les grottes de la région, attestent d'une implantation humaine très ancienne qui remonterait à la préhistoire. Mais son passé n'est connu qu'au delà de l'occupation romaine, car celle-ci ne semble pas avoir touché les TRARAS et leur capitale: NEDROMA.

Ce n'est qu'au IX' siècle que l'historien et géographe arabe Ahmed Ibn-Wadah EL-YA'KUBI (mort en Egypte vers 897) dans son livre «Kitâb-el-Buldân» (Les Pays) traduit par l'orientaliste Gaston WIET (né en 1887), nous rapporte que NEDROMA aurait pris la place de Fillaoucen dans les termes ci-après «... plus loin se trouve la ville de Numâlata (Lalla Maghnia aujourd'hui) où commande Muhammad Ibn'Ali Ibn Muhammad ibn Sulaimân : la dernière localité de la principauté des Banû Muhammad Ibn Sulaiman Ibn'Abdallah Ibn Hasan,

se nomme Falûsan (chaine de montagnes au pied de laquelle est bâtie la ville actuelle de Nédroma),grande cité dont  la  population comprend des groupes de tribus berbères, Matmata, Tajra, Djazzûla, Sanhadja, Indjifa et Indjifa...»

Cette ville a donc pris le nom de NEDROMA : tribu berbère issue des KOUMIA entre les IX' et XI' siècles, cette appellation a été mentionnée pour la première fois par un autre historien et géographe arabe : Abû Obaïd Allah-et-BEKRI (1040-1094 à Cordoue) dans son ouvrage «Kitâb-el Masâlik-Wa-1-Mamâlik» : (description de l'Univers connu au XI' siècle dont il ne reste que des fragments notamment la partie relative à l'Afrique du Nord et au Soudan).

El-BEKRI y a décrit NEDROMA en 1068, comme suit :

«NEDROMA est située au pied de la montagne. Au Nord et à l'Ouest de la Ville, s'étendent des plaines fertiles et des champs cultivés. Elle est à dix mille de la mer. Son SAHEL est formé par le Macim rivière dont les bords produisent beaucoup de fruits. Dans cette localité se trouvent un bon port et un beau ribât... NEDROMA, ville considérable, est entourée d'un mur, elle possède une rivière et des jardins qui produisent toutes espèces de fruits...» (traduction de Slane 1801-1878).

Enfin en 1134, un troisième géographe arabe : Cherif-el-IDRISSI (né à Ceuta en 1100 et mort en 1166) note dans son livre : »Nuzhat-el­Mustâq fi IKHTIRAQ-el-Afaq», connu sous le nom de Kitâb Rujar (c'est à dire de Roger II - 1095-1154), premier roi de Sicile de 1130 à 1154 (qui avait fait de sa cour de Palerme un Centre d'Etudes très brillant, El-Idrissi fit dresser à la demande de ce prince, un planisphère en argent qui servit de base à toutes les cartes des siècles suivants)... El­Idrissi y note que NEDROMA «Ville considérable, florissante bien peuplée, ceinte de murailles, pourvue d'un marché, est située sur une hauteur à mi-côte. A l'orient coule une rivière qui arrose les champs cultivés qui dépendent de la ville et dont les bords sont couverts de jardins et de vergers. (Traduction Djilali SARI : «Les villes précoloniales de l'Algérie occidentale Nédroma, Mazouna, Kalaa» SNED 1969.

NEDROMA est donc une ville ancienne aux caractères urbains nettement définis au XII' siècle.

Après l'Islamisation de notre pays au VIII' siècle, de nombreuses  dynasties comme celles des Aghlabides (800-909) à l'Est, des Idrissides (788-923) à l'Ouest, des Rostémides (777-909) au

 

 

 

 Centre, des Zirides (972-1171) des Hâmmadites (1007-1163) à l'Est aussi et d'autres... ont pris naissance.

Ce furent les Almoravides (1056-1147) venus du Sud, qui occupèrent en 1079 NEDROMA où fut érigée la grande Mosquée, vers la fin du XI' siècle du temps de Youssef Ibn Tachfine (la Mosquée almoravide de Tlemcen fut fondée par Ali Youssef Ibn Tachfine mort en 1143). La grande Mosquée de NEDROMA serait pourvue d'une chaire identique, semble-t-il, à celle de la Mosquée de Cordoue et de la Koutoubia de Marrakech. La plaque portant l'inscription relative à la construction de la grande mosquée de Nédroma aurait été déposée en 1900 au musée des Antiquités d'Alger. Quant au Minaret, il aurait été érigé en cinquante jours aux frais des Nédromis en 1348 du temps des Mérinides. Bien qu'elle soit toujours le lieu le plus fréquenté de la ville cette mosquée, une des plus anciennes de notre pays, a besoin d'être sérieusement restaurée. Mais c'est pendant la période almohade (1120-1269) et surtout du temps de Abdel Moumen B'Ali (1088-1161) prince des croyants (de 1130 à 1161), originaire de la région, et de son fils Abou Yacoub Youssouf premier (1161-1184) que NEDROMA connut son apogée et devint une place forte. Des restes de remparts et des vestiges toujours debout, datent de cette époque. Aussi `Abdel Moumen B. Ali fut-il sacré, véritable fondateur de la ville.

Après cette glorieuse période, NEDROMA a pu malgré tout, survivre aux intrusions guerrières et garder difficilement son indépendance, ces intrusions étaient notamment motivées par l'enjeu qu'elle représentait pour la sécurité de l'arrière pays, TLEMCEN et une grande partie de l'Ouest algérien. Plus brillante que celle des Almoravides, l'oeuvre des Almohades a produit des effets bénéfiques comme l'unification du grand Maghreb arabe et l'Andalousie et ce malgré l'échec évident qui s'est traduit à la fin de la dynastie par la naissance des Hâfcides en Ifriqiya, (1228-1547) les Mérinides du Maroc (1248-1465) et les `Abd-el­Wadides ou Zianides de Tlemcen (1236-1554).

Nédroma joua à cette date, un certain rôle dans les luttes fratricides entre ces deux dernières dynasties.

C'est ainsi par exemple que le gouverneur de Tlemcen, DJABER Ben Youcef fut tué en 1231-1232 d'un coup de flèche à proximité de NEDROMA alors qu'il tentait de l'assiéger.

Pendant la guerre du Zianide Yaghmorasen (1235-1283) Abû Yahya, contre le mérinide Yaqoub Ben Abdelhaq, Haroun Ben Moussa, Chef des Matghara de Taount, se déclara pour le second et s'empara de NEDROMA. Cette place lui fut enlevée par Yaghmorasen, puis elle fut rendue à Haroun Ben Moussa par Abou Yaqoub et reprise encore une fois par le prince Zianide vers 1268-1269.

En 1297, le même prince mérinide mit le siège devant Nédroma et la tint bloquée pendant plus d'un mois. Mais plus tard, en (1348-49), deux princes de la famille royale Abdelwadite : Abou Saïd et Aboû Thâbit, profitant des troubles de l'Empire mérinide, s'emparèrent de Tlemcen alors que leur frère aîné Moulay Aboû Yaqoub allait fixer sa demeure à Nédroma de 1348 à 1352 après avoir renoncé aux dignités de la couronne pour être plus libre de suivre la voie spirituelle. Son fils Abou Hammou (1359-1388) qui devait régner plus tard à TLEMCEN, l'y avait rejoint. C'est là, c'est à dire à NEDROMA que naquit le fils de ce dernier en 1351 : Abou Tachfine Abderrahmane II qui devait succéder de (1388- à 1393) à son père, après l'avoir assassiné.

Après la défaite en 1352 des deux frères Abou Saïd et Abou Thabit cités plus haut, l'occupation par les Mérinides de toute la région, prit fin par la conclusion du traité de paix en 1353.

L'histoire de Nédromâ devint ensuite obscure, mais les faits qui suivirent nous montrèrent qu'en 1548 un pacte unissait les tribus des Traras sous la direction de Sidi Abderrahmane el-Yagoubi pour lutter contre les Espagnols installés à Tlemcen. Ceux-ci n'occupèrent d'ailleurs jamais ni Nédroma ni les Traras.

Après la chute de la dynastie des Abdelwadites (1236-1554) et l'établissement des Turcs à Tlemcen, et à Nédroma en 1518, la région fut disputée à ceux-ci par les chorfa du Maroc. Epuisée par les sièges successifs, Nédroma se releva difficilement pour recevoir de nouveau le contrecoup de ces luttes auxquelles elle servait en quelque sorte de tampon.

C'est ainsi après les invasions chérifiennes conduites en 1651 par Moulay Mohamed Chérif et en 1678 par Moulay Ismail, Le Dey d'Alger mit un terme aux tendances politiques de l'époque en faisant occuper, NEDROMA en 1791 et y asseoir l'autorité turque représentée dans la région par les Beys Omar Agha et 'Ali Kara Baghli. Elle devint même la capitale d'un Beylik assez important.

 

La Région opposa ensuite aux attaques françaises, une résistance armée de 1831 à 1847 sous la conduite éclairée de l'Emir Abdelkader (1808-1883) qui dût y livrer pour ce faire, des batailles acharnées dont les plus  importantes sont :

* En 1831 lors des combats sur la Tafna contre le Maréchal Clauzel, Abdelkader voulut faire de Nédroma son quartier général et ce malgré les difficultés rencontrées.

* En Avril 1836, l'Émir Abdelkader établit son camp à NEDROMA après les combats qu'il mena contre la colonne d'Arlanges.

* En Juillet 1836, après la défaite de la SIKAK, il revient à Nédroma où étaient soignés ses soldats blessés et laissa son camp à Ain et Kebira à une vingtaine de kilomètres de la ville.

* Le traité de la Tafna conclu le 30-5-1837, replaça sous l'autorité de l'Emir Abdelkader toute la région Ouest de notre pays mais à l'instar de tous les traités et le traité Desmichel notamment, daté du 26-2-1834, celui de la Tafna ne fut point respecté. Les hostilités contre notre pays reprirent donc en 1839, l'année de la désignation d'un Nédromi : Hamza Ben Rahal (1812-1881) en qualité d'Imam et Cadi de Nédroma, par l'Émir Abdelkader.

* La ville fut à nouveau occupée le 8 Mars 1842 par le Général Bedeau qui se conduisit en véritable terroriste en prenant comme otages, six notables de Nedroma et six de Beni-Meshel dans le but d'obtenir la soumission de la population.

* Le 29 Avril 1843, combats au col de Bab-Taza contre les troupes du général Bedeau qui réoccupa la région.

* Le 14 Août 1844, bataille d'Isly et création du poste militaire de Ghazaouet sous le commandement du colonel Montagnac dont la colonne avait été anéantie à Sidi-Brahim à quelques kilomètres de Nedroma en Septembre 1845 à une date où le Titteri et le Hodna se révoltèrent contre l'envahisseur, sous la conduite de Mohamed BOUMAZA.

* Le 23 Décembre 1847, embarquement de l'Émir Abdelkader à Ghazaouet pour la prison d'Amboise via Toulon, jusqu'en 1852. Mais la lutte ne cessa point sur tout le Territoire National et ce jusqu'à l'indépendance de notre pays. La résistance algérienne contre l'occupant fut jalonnée d'événements dont l'Algérie peut être fière et à juste raison.

Une autre date, Jeudi 23 Mai 1912, est également à souligner. C'est ce jour du marché hebdomadaire, qu'éclata l'émeute pour protester contre les opérations de conscription, c'est à dire contre l'appel des jeunes algériens sous «les drapeaux français», le «Jihad» fut proclamé pour lutter contre le régime «du plus abject esclavage». Cet événement provoqua en outre l'exode de milliers d'algériens pour échapper à la conscription et donna l'occasion au poète populaire auteur de 3.000 quasidas publiées sous le titre : «Kunûz et-Anhar wa-l-Bouhour fi Diwân es-Siri wanour» : cheikh Kaddour Ben Achour Zerhouni (1850-1938) de relater ces évènements dans des poèmes pleins d'ironie et de moquerie que les Nédromis ne cessent de chanter avec l'accompagnement d'un orchestre de musique andalouse.

Nédroma avait d'ailleurs chez les colonialistes, la réputation d'être «une cité dure» parce qu'elle avait rejeté à sa manière la tutelle d'un Administrateur français «qui s'était rendu particulièrement odieux à la population» en 1898-1899.

L'activité des Partis politiques algériens s'organisa sérieusement à partir de 1930 dans cette région qui reçut en 1932 la visite du Cheikh Ibn Badis (1889-1940) celles du Cheikh el-Bachir el-Ibrahimi (1889-1965), les 6 et 11 Septembre 1949 venu à Nédroma pour inaugurer la Médersa Abdelmoumen Ibn'Ali. Il s'en suivit une intense activité politique et culturelle à laquelle l'occupant opposa des mesures de répression. Cette Médersa fut fermée à la suite d'un attentat perpétré le 7 Mars 1956, pendant la visite du préfet, dans la ville.

L'action révolutionnaire commença évidemment bien avant cette date. Attentats, fouilles, recherches, arrestations, tortures, condamnations, exécutions, emprisonnements, se multiplièrent.

Les quelques faits indiqués ci-dessous comme exemples, illustrent bien, la lutte de libération nationale menée dans la région, par le FLN et l'ALN.

- Jeudi 15 Octobre 1953, jour du marché hebdomadaire à Nédroma, «violente échauffourée» provoquée par des policiers qui s'opposaient à La distribution de tracts et à la diffusion du journal «L'Algérie Libre» n° 81 du 3 octobre 1953.

- 21 Janvier 1954 : Affaire «des sept musulmanes de Nédroma» condamnés à des peines de prison parce qu'elles se sont opposées à l'arrestation arbitraire d'un algérien.

 

- 2 Octobre 1955: attaque de plusieurs cantonnements militaires français.

7 Novembre 1955: importante opération militaire dans le Djebel Zakri, sur le territoire des Djebala.

- 15 Juillet 1956 : première bataille de Fillaoucène, engagements et accrochages violents dans le Djebel Zakri et également,

- En septembre 1956 et durant toute la guerre de libération.

- Novembre 1956 et Février 1957 : série d'attentats en ville et dans la région.

- Mi-Avril 1957 : seconde bataille du Fillaoucène. -12 Août 1957: «Grande tuerie  du  marché du Lundi».

- Autres incidents et accrochages sanglants jusqu'en juillet 1962, marquant la fin de la lutte armée contre l'ennemi.

Tel est très brièvement relaté le passé d'une vieille ville, dotée d'une mosquée almoravide dominant le quartier populeux de la place de «la TARBIA» et de ruines importantes datant de l'ère d'Abdel Moumen ben Ali, le fondateur de cette cité que le prochain symposium regroupant des Universitaires et des Chercheurs fera mieux connaître encore.

Il est évident qu'elle prit depuis quelques années, une expansion de nature à dépayser même ses propres enfants éloignés malgré eux du bercail et je n'en veux pour preuve que le prix de la meilleure ville de la Wilaya de Tlemcen qu'elle obtint tout récemment.

Actuellement daïra née d'un découpage administratif relativement récent et limitée à l'ouest par la daïra de Beni-Saf, au nord par Ghazaouet, à l'est par Maghnia et au sud par Hammam Boughrara, NEDROMA compte une population de plus de 60.000 âmes. Elle comprend deux communes : Djaballa et Nédroma et vit essentiellement d'agriculture et d'artisanat avec environ 150 petits artisans, tailleurs, potiers, menuisiers, ébénistes, tisserands... et depuis une trentaine d'années d'industrie légère avec deux unités de meubles et de soie.

Sa vocation touristique et agricole, son artisanat et son passé font de NEDROMA une cité où l'art, la culture et la musique andalouse ne manquent pas. Bien au contraire et pour ne parler que de cette dernière, elle était dignement représentée jadis et naguère par des compositeurs du «Melhoun», tels que Cheikh et Mekki Ziani, Cheikh Remaoun, Cheikh Kaddour ben Achour Zerhouni et par des orchestres tels que ceux de Si Driss Rahal, Si Ramdani et Si Ghenim. Elle est actuellement brillamment exécutée entre autres par El-Moutribia el Mouahidia dirigée par et Hadj Mohamed Ghaffour. Tout le monde sait que cet orchestre avait obtenu le 4ème prix pour l'Algérie lors du festival national de musique andalouse de 1968 et le premier prix de musique Hawzi au festival national de musique et de chants populaires en décembre 1969. Afin de récompenser tant d'efforts et de donner plus d'essor et d'éclat à l'animation culturelle et artistique, le Ministère de la Culture et du Tourisme a pris l'heureuse initiative de créer dans les tout prochains mois, un Institut des Etudes Andalouses à NEDROMA.

BIBLIOGRAPHIE :

- AGERON CHARLES : Histoire de l'Algérie contemporaine P.U.F. Paris 1974.

- Actes de la table ronde organisée par le C R I D S S H en décembre 1983 sur NÉDROMA

  (1954 - 1984). O.P.U. Oran le 18.11.1986.

- BASSET RENE: NEDROMA et les TRARAS Ernest le Roux, éditeur, Paris 1901- BEL ALFRED: NEDROMA, métropole musulmane des Traras, Alger 1934 (bulletin de la société de géographie d'Alger et d'Afrique du Nord, n° 140).

- BEN RAHAL HAMZA et CANAL JOSEPH : Monographie de l'arrondissement de TLEMCEN, NEDROMA et les Traras, Oran 1888 Bulletin de la société de géographie d'Oran, t. VIII.

- BOUAYED MAHMOUD : Histoire des Bani Zayyan, Rois de TLEMCEN, ALGER E.N.A.L 1985.

- GÉNIAUX CHARLES . NEDROMA, Revue des deux mondes, ler février 1922.

- GRAND GUILLAUME GILBERT : NEDROMA, l'évolution d'une médina. Leidon 1976.

Une Médina de l'Ouest Algérien: NEDROMA.

- JULIEN CHARLES ANDRÉ : Histoire de l'Afrique du Nord, de la conquête Arabe à 1830 PAYOT PARIS 1952.

- LAROUI ABDALLAH : Histoire du Maghreb MASPERO PARIS 1970.     

                                                                  ASSOCIATION EL MOUAHIDIA

 



16/06/2006
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